L'ACG célèbre l'abolition de l'esclavage

Au Programme, une présentation sur l'histoire de " YANGA", un bantou esclavagiste qui aurait oeuvrer dans la résistance.

Puis, la projection du film " Route de l'esclavage, une vision globale", qui relate le bilan des épreuves endurées par les africains durant la période de l'esclavage.

Il s'agit ici de rappeler  que ce sont des fils et filles d'Afrique qui ont été arraché pour aller servir les intérêts d'autres continents.

<< C'est le crime le plus cruel qui puisse exister. Transformer des personnes en chose , il n'y a rien de plus horrible !>>, a expliqué monsieur Laurent BOGAT , Président de l'ACG.

L'objectif étant de guerrier les blessures qui ont été infligées aux africains car selon lui, le développement, le redressement de l'Afrique passerait par l'histoire.

<< Nous devons être vigilants pour que cela ne se répète plus.>> ,a rétorqué le président.Cette célébration est de coutume en France et maintenant déportée au Gabon, leur pays d'adoption.

Cependant, pour monsieur... , enseignant chercheur, l'abolition de l'esclavage a été longtemps perçu comme étant un cadeau. Mais il n' en est rien.

<< La traite négrière était un combat entre ceux qui commercialisent des personnes et ceux qui résistaient >>, autrement dit , un combat acharné entre ceux qui étaient pour les négriers et ceux qui étaient contre.

Ce combats ont commencé en Afrique et se sont apparemment poursuivie en Amérique ou en Europe où ces inégalités et cette soumission continue.

D'après monsieur.. , les ancêtres ont réussi à faire en sorte quel'esclavage soit inopérante. Alors qu'aujourd'hui ces inégalités , ces injustices continueraient , mais sous une autre forme.

 Antine ETOUGHE