ECOFAC célèbre 30ans d’existence dans la gestion durable des écosystèmes.
ECOFAC a célébré ses 30 ans de coopération avec la CEEAC , l’UE et les États membres.
Cela se déroule à l’Hotel Boulevard . Cette coopération œuvre
dans le gestion durable des écosystèmes fragiles d’ Afrique centrale,
vers une économie verte.
Le programme régional d’appui à la Biodiversité et des Écosystèmes
Fragile d’Afrique centrale (ECOFAC) est la concrétisation des
engagements pris par L’UE dans le cadre de sa politique d’aide publique
au développement, des accords de Lomé et de Cotonou entre les pays
Afrique-Caraibe accords de coopération régionale à travers les
programmes Indicatif s régionale (PIR) de l’Afrique Centrale, dans le
secteur de la gestion durable des ressources naturelles.

Ces 30 années passées représente une série d’engagements avec tous
les parties prenantes dans l’économie verte. Cela marque également le
passage un modèle dit linéaire pour un modèle circulation.
C’est à dire une transition de l’économie verte.Cette transition
représente le passage d’une économie verte ,vers un économie verte.
Cette transition verte se fait en 6 phases.
<<Une nouvelle page s’ouvre avec Natu’Africa, qui va bâtir sur
les leçons apprises avec ECOFAC et bien sûr, tiendra compte des
transformations des paradigmes de la conservation au niveau régional et
international, avec l’appui des partenaires nationaux et sous-régionaux.
L’avenir de la conservation en Afrique Centrale est déjà en marche et
le partenariat UE-CEEAC en est une pierre angulaire>>, a précisé
madame Rosario BENTO PAIS, Ambassadrice de l’Union Européenne (UE) au
Gabon, pour Sao Tomé et Principé, dans son propos introductif.

Depuis le lancement d’Ecofac en 1992, trois grandes cycles ont
caractérisés les évolutions de ce programme : l’identification des
enjeux majeurs de la conservation dans la sous- région , le renforcement
des capacités et du cadre législatif et institutionnels régional ,puis
l’alignement grandissant avec les évolutions régionales et
internationales.
Cependant,Le model circulaire implique une décolonisation des
industries. Il se veut une approche plus participative des populations
des alentours et veut davantage impliquer les femmes dans la
préservation de l’environnement et la gestion des aires
protégées.Natur’Africa aura 85% dans la question genre afin d’aider les
femmes dans la gestion de leur activité et générer des richesses.
En outre des pays comme la France, l’Allemagne,la Suède ont intégré
la Cop21 , sont prêts à financer à hauteur de 10 à 30 milliards d’euros
dans l’environnement et le maintien de l’écosystème ,car c’est une
question qui concerne tous les pays du monde entier.
Antine ETOUGHE