Dominique DOUMA clos le festival coup de théâtre

La salle de spectacle de l'institut français du Gabon, a été le cadre pour où les hommes et femmes de théâtre ont exprimé leur talent et leur différent message au public afin de renouer avec cette art. Des pièces de théâtre qui ont mis en lumière les textes d'auteurs contemporains et des précurseurs. 

<< c'est un moment de transmission entre les doyens du théâtre que nous sommes et la nouvelle génération. C'est un témoignage au public qui a manqué de voir les performances de la création Gabonaise. De faire en sorte que le théâtre ne se retrouve pas figé ! Mais au contraire, il évolue dans son identité en matière de création. Et aussi, rend un hommage aux auteurs. On oublie souvent très souvent les dramaturges, les auteurs gabonais>> a souligné Michel Ndaot. 

Toutefois, pour lui le théâtre gabonais a dû mal à se démarquer, du fait qu'il n'est pas présent à certains grands rendez - vous du théâtre.

La nouvelle génération est entrée en scène, ce qui annonce de belles promesses pour l'avenir du théâtre gabonais. Ils se battent pour donner une forme au théâtre, malgré que le combat a commencé en 1960 avec le dramaturge Vincent de Paul Nyonda.

<< Déjà ravie que nous soyons arrivé à bon port. L'organisation du festival n'est pas chose aisée. La météo a été clémente avec nous. Il n'y a pas eu de pluie pour empêcher les spectateurs d'être présent. Les acteurs également ont pû se produire. Je peux dire que le bilan est à 90% positive. Nous avons eu  des beaux spectacles, les comédiens gabonais et les metteurs en scène se sont bien exprimé. 

La qualité a été au rendez-vous. Que se soit sur le plan des costumes, de la diction, la performance des comédies. Il y'a eu une évolution. Même dans l'organisation.Il y'a pas eu de problème durant le festival . Pour cela ,il fallait que l'on réussissent ses choses de cette manière>>, a  déclaré Dominique Douma.

Plus de , 200 dramaturges de théâtre ont animé le festival, plusieurs œuvres ont été représentées par des groupes de comédiens  qui ont joué à l'institut français du Gabon et à l'université Omar Bongo. La pièce de clôture le monologue faisait une virgule dans le thème de l'immigration. c'était un coup de théâtre !

Armel DITOMBI