Le chômage , une bombe à retardement !

Avoir accès à un emploi pour la jeunesse est  un véritable parcours du combattant. C'est suite à l'étude conduit du responsable de l'ONG collectif jeunesse sans emploi, monsieur ERWAN BAYACKABOMA ,  que sur l'employabilité des jeunes de la ville Libreville et de Port-Gentil. Il en ressort de cette étude qui montre le chômage, la précarité, exclusion sociale de la jeunesse comme étant un réalité palpable. 

Retrouver sur la table lors d'une réunion avec du Ministre du travail et de la lutte le chômage. Le (CJS) avait posé les revendications et des prépositions. Depuis 3 mois, le collectif jeunesse sans emploi reste en attente sur du retour du programme de travail avec le Ministre du travail.

Fort du constat alarmant et le manque réel  de volonté des parties prenantes pour sortir la jeunesse de  cet état du chômage et de la précarité, le collectif jeunesse sans emploi s'est exprimé sur cette situation sociale qui est selon eux une bombe à retardement .

<<au plan social, le taux de pauvreté est encore élevé en zone rurale avec 40%,  contre 20% dans les villes. Tout ses indices et statistiques traduisent le manque d'implication de protection et d'anticipation des pouvoirs publics sur les réalités sociales qui ,chaque jours deviennent préoccupantes et cela est considéré comme une bombe a retardement pour le pays dans ensemble >> ,a indiqué le président de l'ONG collectif jeunesse sans emploi, monsieur ERWAN BAYACKABOMA.

Le président de l'ONG jeunesse sans emploi ERWAN BAYACKABOMA a émis la volonté de rencontrer les autorités de la transition, en particulier le chef du gouvernement et  président de la transition, chef de l'État, le général Brice Clotaire OLIGUÉ NGUEMA

 En juin 2023, le collectif jeunesse sans emploi avait compris que personnes ne pourrait traité et parler cette problématique du chômage mieux eux-mêmes.

 Armel DITOMBIS