Littérature: À la découverte des contes HAOUSSAS.*

En nous plongeons dans un univers purement fictif. Mr ISSA TANKAULT, adapte pour la lecture de tout public un genre littéraire peu solliciter. Celui des contes, appartenant à la famille littéraire des récits.

Ouvrage de mille pages, structuré en neufs paragraphes déclinant chacun .Ainsi le premier chapitre, énoncé KASAMIA ET LE ROI DES RATS, traitant d’un procès de vole.
Le deuxième chapitre dénominé LA CUILLÈRE SALLE DE MOUGVA traite des épreuves intrépide d’une belle fille.
Le troisième chapitre intitulé « PILERIN et DODO LE MONSTRE », traitant du pouvoir de la foi au seul nom d’Allah.

Le quatrième chapitre, quant à lui, dénomé « LA RANCUNIÈRE », fait état de l’importance du pardon.
Dans le cinquième paragraphe énoncé « lA VACHE MIRACULEUSE », rappelant l’individu à ne rien négliger, car la seule chose que l’on  minimise, peut nous mener à la prospérité.

Le sixième paragraphe dénommé « L’HOMME PARFAIT », visant à édifier le public sur la notion des apparences.Le septième paragraphe énoncé DAN AWOUTA L’INTRÉPIDE, faisant part de la vaillance d’un héros.
Le huitième chapitre intitulé LE CULTIVATEUR ET SON POUR CHANTEUR.

Suivie du chapitre neuf et dernier intitulé « IYA L’OBSTINE ET SES DEUX FILLES », disposant une interdiction des parents quant à leur ingérence dans la vie de leur enfant.

Pour Mr MOUSSAOUDJI, notre modérateur, après une analyse brillante de cette œuvre,  pense qu’il y ‘a un rapport visible et invisible au sein de ses contes et que » les CONTES DES HAOUSSAS GABONAIS » correspond tout à fait aux critères imposés à la rédaction d’ un conte.

Cette œuvre nous permet de découvrir la culture HAOUSSA avec des noms, des lieux et des contines qui nous plongent de plein fouet dans cette univers.

<<Ces contes révèlent une morale profond, car  ils nous emmènent nous même à tirer des leçons de vies qui nous accompagnerons dans notre quotidien>>, a t-il précisé.

Pour notre écrivain le combat est rude. Il s’agit pour lui d’intégrer les HAOUSSAS dans la communauté gabonaise.

Daniella MBADINGA