lundi 11 mars 2024 / /

Journée de la Femme/RENAFEM- GA rien sans les femmes !

Libreville, le 8 mars 2023. BWM-L'emploi des femmes reste un enjeu majeur dans société gabonaise. Le réseau national des femmes médiatrices de paix ont réuni les femmes pour échanger sur les aspects fondamentaux. Sous le thème :<< investir en faveur de la femme, accélérer le rythme, le temps presse >>. L'alternative reste pour elles la mise en place des activités génératrices de revenus pour leur autonomisation.

Vivant sur le seuil de pauvreté,les conditions de vie des femme gabonaise s'est peu amélioré et reste fragilisé.  Comme l'ont souligné ses femmes venu de tout bord politique et social à cette rencontre.

Elles  ont interpellé les autorités de la transition et sur l'évolution des droits, les acquis et les avancées. Avec  ces thèmes abordées, les panelites ont eclairé la lanterne de ces femmes qui ont d'une part célébrer la journée internationale des droits des femmes et d'autres part ,apporter leur contribution pour l'amélioration de leur condition d'existence à l'heure de la restauration des institutions.

En la matière, la parité homme-femme au sein des institutions, reste loin du quotas de 30% au sein du Gouvernement de la transition et celle de l'assemblée nationale.Sauf, au Sénat qui a respecter le quota. 

Des initiatives importantes ont été élaborées pour atteindre le quota de 30 % des représentations des femmes dans la vivacité de la démocratie. Ce ,afin d'atteindre les 50 % des femmes au sein des institutions décisionnelles.

Elles  ont exprimé en l'occurrence sur la situation des femmes monoparentales, les risques sur l'éducation des enfants. Les délinquants juvéniles au sein de ses familles est  un fléau qui s'accentue.

Pendant la période de la transition, elles ont tenue à interpeller les autorités de la transition ,de favoriser le renforcement des institutions chargées d'adopter les politiques nécessaires à la prévention des problèmes concernant la famille et la femme, la protection de l'enfance et la prévoyance sociale.

<<Nous avons besoin des activités génératrices de revenus, que l'État met en place des structures d'accompagnement et que l'on facilite l'accès aux moyens pour l'autonomisation des femmes>> ,a fait savoir madame Michelle OTOUNDA.

La communauté internationale lance un regard sur le Gabon et les femmes veulent que l'on prennent en compte leur voix.Elles ont des contributeurs consigné pour un dialogue national inclusive.

<< Les femmes ne sont pas prises en compte dans les quotas dans les instances de décision, au dialogue national nous voulons que les femmes soient prises en compte>>, a déclaré madame Élisabeth NGOUA MBINA.

Le plaidoyer pour l'amélioration des conditions de vie et de travail des femmes  a été élaboré pour contribuer au cours du dialogue national. Elles ont abordé les thématiques sur l'autorisation de la femme, des droits des femmes et leur contribution au dialogue national inclusive. 

La dialogue national inclusive doit tenir compte  de l'application de la représentativité des femmes dans les instances décisionnelles et les sphères de la transition.

 Armel DITOMBIS 

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